Nouvelles de l'AES

Les acquis politiques, culturels, économiques et sociaux de l'Alliance des Etats du Sahel Más abajo la versión en español

En septembre 2023, les dirigeants du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont officiellement créé l'Alliance des États du Sahel. Cette alliance révolutionnaire s'engage à développer le Sahel en refusant son pillage au profit du développement de l'Occident.

Depuis sa création, l'AES a établi une nouvelle norme africaine : un engagement singulier en faveur d'un développement autocentré. Le Mali, le Burkina et le Niger - dans le cadre de leur union- ont déjà accompli des progrès monumentaux dans le démantèlement du mythe raciste selon lequel l'Afrique ne peut pas survivre de manière indépendante, prouvant ainsi la véracité de la célèbre déclaration de Kwame Nkrumah : « Le néocolonialisme n'est pas un signe de la force de l'impérialisme, mais plutôt de son dernier souffle hideux.

Trois mois seulement après la formation de l'alliance, la Société nationale des substances précieuses (SONASP) du Burkina Faso a commencé à acheter de l'or. Entre janvier et août 2024, la SONASP a acheté 13,049 tonnes d'or. Cet achat d'or - une ressource intégrale dans l'économie burkinabé - peut indiquer plusieurs choses, toutes étant des signes d'un leadership auto-centré dévoué. L'or peut être utilisé pour se protéger contre l'inflation, stabiliser et renforcer la monnaie nationale, ou signaler de futurs investissements sur les marchés de l'or. Il est très probable qu'il s'agisse des trois à la fois.

Le 5 octobre 2024, le président du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, a annoncé que le Burkina allait révoquer les permis d'exploitation minière de nombreuses multinationales, soulignant : « Je ne comprends pas pourquoi nous savons exploiter l'or et nous laissons les multinationales venir exploiter notre or. Nous allons le faire nous-mêmes. Le président Traoré a déclaré que le Burkina Faso pouvait exploiter l'or burkinabé sans l'aide des multinationales.

Autre bonne nouvelle en provenance du Burkina Faso, la construction de l'hôpital de Bobo-Dioulasso devrait être achevée d'ici mars 2025, ce qui prouve une fois de plus que le véritable développement de l'Afrique ne peut résulter que d'efforts africains collectifs. Bobo-Dioulasso est la deuxième ville du pays, et l'hôpital ultramoderne, surnommé « le joyau », est actuellement achevé à 80 %. Il s'agit d'un hôpital universitaire de 500 lits qui comprendra 17 bâtiments différents, dont un service d'urgence, des services d'hospitalisation, des technologies médicales, des installations de soutien logistique et des appartements pour les experts médicaux. Un ouvrier du bâtiment burkinabé a déclaré : « Chaque jour, je me réveille en sachant que je participe à quelque chose de grand. Quelque chose qui laissera un impact durable sur notre peuple. Ce projet est plus qu'un simple projet de construction pour moi et mes collègues. C'est un symbole d'espoir et de ce que nous pouvons accomplir ensemble en tant que nation ». Il a ajouté : « Nous ne sommes pas de simples ouvriers. Nous sommes les bâtisseurs de l'avenir de notre pays. Chaque équipement que nous installons, chaque mur que nous élevons, nous construisons quelque chose qui durera longtemps après notre départ. Nous créons quelque chose dont nos enfants bénéficieront et nous devrions tous en être fiers. Cet hôpital fournira des soins aux habitants de Bobo-Dioulasso et des environs de la ville.

Enfin, le Burkina Faso continue de faire des progrès militaires contre la légion de mercenaires armés lâchés sur l'Afrique après l'assassinat de Mouammar Kadhafi par Barack Obama pour déstabiliser le continent. En conséquence, la province du Yatenga au Burkina Faso - auparavant tourmentée par le terrorisme - s'attend à produire plus de 80 tonnes de riz grâce à l'amélioration de la sécurité.

Tous les pays dits « sous-développés » dans le monde sont exploités par d'autres ; et le sous-développement qui préoccupe actuellement le monde est le produit de l'exploitation capitaliste, impérialiste et colonialiste. Les sociétés africaines et asiatiques se développaient de manière indépendante jusqu'à ce qu'elles soient prises en charge, directement ou indirectement, par les puissances capitalistes. Dans ce cas, l'exploitation s'est accrue et l'exportation des surplus a suivi, privant les sociétés du bénéfice de leurs ressources naturelles et de leur travail. Cela fait partie intégrante du sous-développement au sens contemporain du terme ». - Walter Rodney, Et l'Europe sous-développa l'Afrique

Noticias de última hora de la AES

Los logros políticos, culturales, económicos y sociales de la Alianza de Estados del Sahel (AES)

En septiembre de 2023, los dirigentes de Mali, Burkina Faso y Níger crearon oficialmente la Alianza de Estados del Sahel (AES). Esta alianza revolucionaria se compromete con el desarrollo del Sahel rechazando su expolio en favor del desarrollo de Occidente.

Desde su fundación, la AES ha establecido un nuevo estándar africano: un compromiso singular hacia el desarrollo autocéntrico. Malí, Burkina Faso y Níger -en su corta pero revolucionaria unión- ya han dado pasos monumentales para desmentir el mito racista de que África no puede sobrevivir de forma independiente, lo que demuestra aún más la veracidad de la famosa afirmación de Kwame Nkrumah: «El neocolonialismo no es un signo de la fuerza del imperialismo, sino más bien de su último y horrible suspiro».

Apenas tres meses después de la formación de la alianza, la Sociedad Nacional de Sustancias Preciosas de Burkina Faso (SONASP) empezó a comprar oro. Entre enero y agosto de 2024,

la SONASP compró 13,049 toneladas de oro. Esta compra de oro -un recurso integral en la economía burkinesa- puede indicar varias cosas, todas ellas signos de un liderazgo autocentrado y dedicado. El oro puede utilizarse como cobertura contra la inflación, para estabilizar y fortalecer la moneda nacional o como señal de futuras inversiones en los mercados del oro. Lo más probable es que signifique las tres cosas.

El 5 de octubre de 2024, el presidente de Burkina Faso, Ibrahim Traoré, anunció que Burkina revocaría los permisos de minería de muchas empresas multinacionales, subrayando: «No entiendo por qué sabemos explotar el oro y dejamos que las multinacionales vengan a explotar nuestro oro. Lo haremos nosotros mismos». El Presidente Traore, un joven titán popular entre sus ciudadanos, ha declarado que Burkina Faso puede explotar el oro burkinés sin ayuda de las multinacionales.

Otra buena noticia procedente de Burkina Faso es que la construcción del hospital de Bobo-Dioulasso debería estar terminada en marzo de 2025, lo que demuestra una vez más que el verdadero desarrollo africano solo puede venir de los esfuerzos colectivos africanos. Bobo-Dioulasso es la segunda ciudad más grande del país, y el hospital de última generación, conocido como “la Joya”, está actualmente terminado en un 80%. Se trata de un hospital universitario de 500 camas que contará con 17 edificios diferentes, entre ellos un servicio de urgencias, servicios de hospitalización, tecnología médica, instalaciones de apoyo logístico y apartamentos para expertos médicos. Un trabajador de la construcción burkinabé comentó: «Cada día me despierto sabiendo que formo parte de algo grande. Algo que dejará un impacto duradero en nuestra gente. Este proyecto es algo más que una obra para mí y mis colegas. Es un símbolo de esperanza y de lo que podemos lograr juntos como nación». Y añadió: «No somos meros obreros. Somos constructores del futuro de nuestro país. Cada equipo que instalamos, cada muro que levantamos, estamos construyendo algo que perdurará mucho después de que nos hayamos ido. Estamos creando algo de lo que se beneficiarán nuestros hijos y eso es algo de lo que todos deberíamos estar orgullosos. Este hospital atenderá a los habitantes de Bobo-Dioulasso y también a los de los alrededores de la ciudad». Por último, Burkina Faso sigue avanzando militarmente contra la legión de mercenarios armados desatada en África tras el asesinato de Muammar Gaddafi por Barack Obama, que desestabilizó el continente. Como resultado, la provincia burkinesa de Yatenga -antes atormentada por el terrorismo- espera producir más de 80 toneladas de arroz gracias a la mejora de la seguridad.

“Todos los países denominados 'subdesarrollados' en el mundo son explotados por otros; y el subdesarrollo con el que el mundo está ahora pre-ocupado es producto de la explotación capitalista, imperialista y colonialista. Las sociedades africanas y asiáticas se desarrollaban de forma independiente hasta que fueron absorbidas directa o indirectamente por las potencias capitalistas. Cuando eso ocurrió, aumentó la explotación y se produjo la exportación del excedente, privando a las sociedades del beneficio de sus recursos naturales y de su trabajo. Eso es parte integrante del subdesarrollo en sentido contemporáneo”. - Walter Rodney, Cómo Europa subdesarrolló África.