Les Africains du monde entier se lèvent pour soutenir le capitaine Ibrahim Traore et la Confédération AES
“Pour moi, l’AES est la seule force digne et salvatrice pour les Africains et les Afro-descendants.”— François, 22 ans, Burkina Faso
Le 30 avril 2025 a marqué un jour historique d’unité et de résistance. Les Africains du monde entier se sont mobilisés en solidarité avec le président du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, et la Confédération AES, affirmant un engagement renouvelé en faveur de la dignité, de la souveraineté et de la révolution africaine.
De New York à Accra, de Londres à Kingston, une vague de manifestations mondiales a éclaté en réponse aux attaques de plus en plus nombreuses et aux menaces à peine voilées des forces impérialistes, qui cherchent à saper la révolution africaine. Ces mobilisations ont été déclenchées par une série d’événements révélant un schéma bien connu d’ingérence impérialiste sur le continent.
La route vers le 30 avril : une chronologie de l’escalade
“Pour moi, l’AES n’est pas un simple bloc régional. C’est un mouvement révolutionnaire qui milite pour l’autonomie et la prospérité de l’Afrique ce qui ne peut se faire qu’en rompant les liens avec le noyau impérial. Ce n’est pas seulement un symbole de révolution pour l’Afrique, mais pour l’ensemble des pays du Sud global.". — Pierre, 23 ans, Royaume-Uni
La planification de cette mobilisation a débuté peu après le 4 avril, lorsqu’une audience télévisée du Sénat américain a vu le général Michael Langley, chef de l’AFRICOM, accuser le capitaine Ibrahim Traoré d’être une « menace pour son peuple » une formule largement reconnue comme prélude aux interventions impérialistes. Dans les jours qui ont suivi, des informations ont fait état d’une nouvelle tentative d’assassinat visant M. Traoré, ce qui a suscité l’inquiétude en Afrique et dans la diaspora.
Le 21 avril, un communiqué officiel du ministre burkinabè de la Sécurité, Mahamadou Sana, a confirmé l’implication de la Côte d’Ivoire considérée comme un État relais des États-Unis dans un complot visant à éliminer le capitaine Traoré et à saboter la Confédération de l’AES. Trois jours plus tard, le 24 avril, le général Langley a été aperçu à Abidjan, ce que beaucoup ont perçu comme une confirmation flagrante de la coordination entre les États-Unis et leurs relais contre-révolutionnaires dans la région.
Faisant écho aux assassinats de Patrice Lumumba, Mouammar Kadhafi et Thomas Sankara, entre autres figures panafricaines, ces provocations ont catalysé un appel mondial à la mobilisation de masse le 30 avril. Face à un schéma impérialiste familier visant à déstabiliser nos luttes, les Africains du monde entier ont décidé de briser ce cycle, une fois pour toutes.
Défendre l’AES : le seul avenir de l’Afrique
“L’AES est ma force et mon espoir dans cette lutte inlassable contre le néocolonialisme et l’impérialisme.”— Mariama, 26 ans, Portugal
L’AES est plus qu’une alliance : c’est un phare pour l’Afrique. La Confédération de l’AES est à l’avant-garde de la lutte contre l’impérialisme, mais elle est aussi l’embryon de ce qui pourrait devenir un jour les États-Unis d’Afrique. Tous les Africains conscients doivent servir, protéger et défendre l’AES. Si nous ne le faisons pas, si nous laissons passer cet élan, l’Histoire ne nous absoudra pas.
Nous appelons tous les Africains, où qu’ils soient dans le monde, à reconnaître que leur destin est indissociablement lié à celui de l’AES, et à faire de la défense de cette révolution une priorité absolue — par tous les moyens nécessaires.
Notre coalition a mis en place le Fonds de solidarité pour l’AES, destiné à mobiliser des ressources en soutien à la révolution sahélienne. Les fonds collectés sont directement redistribués aux organisations révolutionnaires de l’AES, engagées aux côtés de leurs gouvernements dans cette lutte. Alors que nos ennemis redoublent d’agressivité envers l’AES, nous devons redoubler d’efforts pour défendre cette lutte.
Nous vous appelons à contribuer généreusement et régulièrement à ce fonds, à rejoindre les organisations révolutionnaires dans vos régions, et à fournir un soutien idéologique, logistique et matériel à la Confédération de l’AES. L’Afrique est en mouvement. Elle a besoin de nos mains, de nos ressources et de notre courage.
À bas l’impérialisme !
À bas le néocolonialisme !
Vive la Confédération AES !